…Un spectacle qui pose tant de questions en 25 minutes fait quelque chose de spécial.
The Sunday Times – Adrian Turpin ****
…Un spectacle qui pose tant de questions en 25 minutes fait quelque chose de spécial.
The Sunday Times – Adrian Turpin ****
…Ce qui est surprenant c'est la mésure à laquelle presque tout le monde, même en savant que ceci est une performance minutieusement mise en scène, se retrouve emporté par la fiction... Quelque chose d'intriguant, même de profond se passe ici, concernant le manque d'intimité simple dans nos vies et notre sensibilité à des mots, des regards tendres qui touche au coeur de notre aliénation
The Times – Robert Dawson Scott ****
…Ce qui fait remarquer cet expérience de 25 minutes, est la mesure à laquelle elle semble avoir le pouvoir de faire penser et sentir en même temps… Est-il alors vrai, que les véritables relations sont devenues trop difficiles pour nous? Est-ce que nous sommes des cas désespérés qui doivent acheter un ticket pour le théâtre afin d'avoir un rendez-vous romantique? Ou alors, est-ce que nous avons oublié simplement, dans notre quête pour l'autonomie et la complaisance, comment faire le premier pas vers quelque chose qui apporte notoiremment de la douleur et du besoin, ainsi que la joie et l'accomplissement? La performance d'Ontroerend Goed ne prétend jamais de répondre à ces questions, mais elle les pose certainement, avec plus de puissance que quelconque expérience de théâtre dont je me souviens.
The Scotsman – Joyce Mc Millan *****
…Après j'ai ressenti un raz de marée de regret de ne pas avoir plus profité du moment - ma tête tournait d'euphorie perturbée. Je ne l'aurais pas voulu râter pour rien au monde.
The Herald – Neil Cooper *****
…C'est étonnant combien de choses on se raconte en cet unique moment, sans même parler. Avec une grenouille dans la gorge, je fixe le rideau noir et je dois simplement avouer que la fin était inévitable, mais en même temps déchirante.
Cutting Edge – Robbie Hermans ****
…‘Interne’ est un carnivore. Il louche sur son public, engloutit nos charactères individuels avant de nous cracher dans la ville, à moitié mangés… Ceci est du théâtre qui n'a pas peur d'être méchant. Pas méchant a la façon engueulante de Ravenhill ou Kane, mais de façon blessante-cicatrisante-le-monde-est-cruel; il trahit votre confiance; il séduit; il rejette.
Culture Wars – Matt Trueman